Bords de Marne

Par où commencer ?
Par août commencer.
Août 1949.
Petite famille en bord de Marne à Joinville-le-Pont Pon-pon
le papa, la maman et las chiquidinas *
la petite toute neuve dans les bras, moi celle du milieu,
et la grande très sérieuse.
Plus loin, les guinguettes, chez Gégène, on y va souvent,
les couples endimanchés qui virevoltent
le petit gros à moustache et la grande maigre… aussi !
au son joyeux de la musette et du pied d’plomb du batteur.
Une guenon enchaînée dans le marronnier tire les queues de cheval,
les vélos rigolos tournent autour de la piste avec des selles dos à dos
des roues ovales, des pédales impossibles,
des guidons sous les fesses, ça rigole et ça tombe.
Les frites et les saucisses et le gros rouge sur les nappes à carreaux.
Nous on a un kayak, on se baigne dans la Marne aux fragrances de vase.
J’aimerai toujours ce parfum de misère.
La très grosse boulangère s’appelle madame Prompte
la boucherie est chevaline près de marchand de couleurs
quel beau métier !
mon père fume des Disque Bleu
et conduit une 4CV Renault 2515 BV 75.
Dans l’épicerie des Martin, pas encore rachetée par Ahmed,
une seule marque de yaourts en pot de verre
des petits suisses, des petit-beurre et les sucettes Pierrot Gourmand.
Les patates moches sont maculées de terre,
comme la barbe des poireaux, tout est bio.
Mon père tape do/fa sur le piano en chantant ils ont des chapeaux ronds
c’est archi-faux et ça fait rire : l’homme s’amuse.
Les touches do/fa restent à jamais tachées de nicotine.
Ma mère ne joue rien mais elle chante toute la radio,
et ma grand mère martèle la Marche Turque.
Je n’en garderai que de bonnes séquelles.

  • souvenir de la chanson de Henri Genès : Tantina de Burgos
    https://www.youtube.com/watch?v=48rhXGNzH7Y

Après notre divorce, G. m’avait volé mon album photo, retrouvé dans sa cave après sa mort. Les photos étant moisies-pourries, je les ai coloriées pour ne pas les jeter. Mon ex AD m’a conseillé « d’en faire quelque chose »… (à suivre)
© image et texte dominique cozette

Huit huit

Cette image de moi-même date des années 60
c’était l’été je portais une robe en lin même si ça n’était pas de mise
mais du lin blanc pour faire ressortir mon beau hâle de la Marne.
On allait partir en vacances très prochainement,
c’était le début du mois d’août et ma fête, la Saint Dom, tombait le quatre.
Or comment deviner que bien longtemps après, des années,
elle serait déplacée au huit août pour laisser mon quatre
à un mec qui s’appelait Saint-Jean Vianney
dit le curé d’ars. Bon, d’accord. Ça changeait tout.
Donc le huit aout. On dirait le huit huit eud’ nos jours.
Comment imaginer qu’un été très lointain, des décennies plus tard,
le huit août serait une super-date, qu’elle cumulerait rien que du bien.
Comment prévoir que je rencontrerais un homme né le huit huit,
date de ma fête à moi. Puis qu’il demanderait ma main,
puis qu’il m’épouserait le huit huit huit, il y a seize ans.
Puis que le lendemain de ces épousailles festives et joyeuses,
nous fêterions la Saint- Amour, un sacré saint çui-là du Beaujolais
qui se laisse boire tendrement même si l’on apprécie peu le gamay.
Donc Amour le jour d’après ma fête et son anniv.
Et la suite… vous croyez que ça s’arrête là ?
Que non, car le jour d’après l’Amour, c’est la Saint Laurent,
le nom de cet homme devenu époux. Sacrée trilogie.
Trois jours à fêter ça. Ce que je vais m’empresser de faire dès ce soir,
car si l’homme est parti, l’esprit est resté et je n’oublie rien.
Je ne serai pas seule, il y a les ami.es, il y a la famille.
Hier encore, j’avais quinze ans, je vénérais l’été,
j’attendais les surprises, je guettais les joyeusetés
et croyez-moi, je n’ai pas été déçue.
Tchin-tchin à cette belle vie qui fait ce qu’elle peut pour pétiller encore.

Texte et image © dominique cozette

Les Fessebouqueries #667

Macron est le plus grand TOM à la tête d’une nation. TOM ? Tripoteur Officiel des Médaillés… Il arrive même à foutre ses paluches sur les paupières d’une judokate qu’on a dû amener en urgence aux 15-20 pour soigner cette sale macronite aigüe que le TOM inocule sans jambages ni ver(de bour)gogne aux pauvres athlètes pris en otage par ce maniaque du pelotage, malaxage, tripatouillage (un mot anglais, please ! ) en tout genre — sans aucun consentement — pendant que nous, électeurs cocus, ne nous remettons pas de l’affront infligé à notre pauvre Marianne qui continue de sourire jocondesquement. Mais gaffe, magouillage et trifouillage sont les deux mamelles de la rage. On t’aura prévenu, tout petit TOM aux mains baladeuses ! Allez, un tchin de rosé-glaçons, tiens !

  • CEMT : — Fais-moi un câlin Teddy, j’ai perdu les élections ! — Mais je ne suis pas là pour… — FAIS-MOI UN CÂLIN JE TE DIS !
  • NA : Macron, médaille d’or de gâchage des moments sportifs historiques.
  • JD : Les Français.e.s n’ont jamais autant voté. Et Macron il a dit « balek le gouvernement, je vais à Brégançon ». C’est fou.
  • SJR : vous verrez que dans peu de temps les affaires louches de Lucie Castets vont sortir comme le jour où elle a utilisé un jeton des magasins Leclerc dans un caddie des magasins Intermarché, inacceptable dans une démocratie.
  • JF : En fait il ne reste plus à Lucie Castets qu’à gagner une médaille olympique pour rencontrer Macron.
  • PE : Nouveau scandale aux jeux olympiques ! Jésus encore ridiculisé après la victoire de Léo Marchand qui a littéralement couru sur l’eau.
  • LG : Parlement européen. Faute de présence, le siège de Jordan Bardella transformé en relais colis.
  • CC : Quand même, quand tu demandes à Nadal de te rendre un service, ça doit faire très très mal.
  • SJR : Après le banquier à l’Elysée, ils veulent nous refourguer un assureur à Matignon, ce n’est plus une république, c’est un épisode de caméra café !
  • MA : Sabrina Agresti-Roubache nous explique que c’est normal que Macron claque dix fois plus que les autres dirigeants européens pour faire la bamboche parce qu’il a plein de riches à inviter.
  • NA : Des années de travail, de souffrance et d’abnégation pour se qualifier aux JO, arriver en demi-finale, en finale, jeter ses dernières forces, décrocher enfin cette médaille, penser que le plus difficile est derrière soi… et voir Macron s’approcher avec ses grandes paluches.
  • OM : On remarquera quand même que la Seine était moins polluée avant que les politiques ne s’y baignent…
  • FT : « Macron nous a pris deux ans de nos vies! Il a refusé le résultat des élections! Grève générale pendant les JO et manifestOOOH, REGARDEZ ON A UNE MÉDAILLE D’OR !!!! »
  • OM : Macron c’est peut-être pas un super Président mais en tous les cas c’est une excellente serviette de sportifs en sueur.
  • XY : Vous aussi quand les Français perdent vous croyez que c’est vous qui portez la poisse et vous changez de chaîne en espérant qu’en revenant plus tard ils mènent au score ?
  • SG : EXCLUSIF : Un forcené s’est retranché dans un fort à Brégançon. Il tient en otage la Démocratie.
  • OK : On n’a toujours pas de premier ministre, mais on rayonne à l’international avec Philippe Katerine. C’est fou hein !
  • YD : Liste des gens qui n’ont pas aimé la cérémonie d’ouverture : – Poutine – les mollahs Iraniens – Marion Maréchal – Finkielkraut – Mélenchon – le Pape – Viktor Orban – Donald Trump – le duc d’Anjou – Pascal Praud – Philippe de Villiers. Erratum : pas le Pape, mais l’évêque de Nîmes.
  • RS : Je rêve d’un monde meilleur où tous les intégristes cathos juifs ou musulmans puissent se prendre enfin par la main, sans haine, voguant tous ensemble sur un bateau vers le même destin, comme une famille unie, pour finir dans un putain d’iceberg et arrêter de nous les briser !
  • FT : Il a plu un peu. Maintenant on a donc encore trop chaud, mais en plus il fait humide. J’ai l’impression d’être dans le slip de Gérard Larcher.
  • CC : « Pour effacer les images sataniques de la cérémonie des jeux olympiques, j’appelle tous les Français à se laver les yeux, trois fois par jour, avec de l’eau bénite. » (Christine Boutin)
  • OK : ALERTE On vient d’apprendre que Léon Marchand a tracté le cheval mécanique sur la Seine pendant la cérémonie d’ouverture.
  • TV : — Bonjour Patron, à tout’, je vais sur le chantier — Mais… vous avez démissionné il y a 15 jours, j’ai accepté votre démission — Ah mais non, rien à voir, maintenant je suis « ouvrier DÉMISSIONNAIRE », je vais revenir bosser quelques mois et vous allez me payer quand même.
  • MBT : Emmanuel Macron : « C’était du pain ou des jeux, on a choisi les jeux. »
  • MBT : Rachida Dati : « C’est une honte, Lucie Castets fait de la politique pendant ses congés au lieu de piquer dans la caisse comme tout le monde. »
  • NP : Du coup, je me pose une question : les ministres démissionnaires qui sont en même temps députés, ils touchent quoi en ce moment ? Leur paye de ministre ? Leurs indemnités de député ? Ou les deux ?

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RAPPEL : Je collecte au long de la semaine les posts FB et les twitts d’actu qui m’ont fait rire. Les initiales sont celles des auteurs, ou les premières lettres de leur pseudo. Illustration ou montage d’après photo web © dominique cozette. On peut liker, on peut partager, on peut s’abonner, on peut commenter, on peut faire un tour sur mon site, mon blog, mon Insta. Merci d’avance.

On avait tout…

Ça y était
on avait tout ce qu’il fallait
pour un semblant de bonheur
de cette béatitude pépère des barbus fumeurs de pipe
au coin du feu qui font pof pof pof
pendant qu’elle pleure en pelant les oignons
Non
pas de ça chez nous c’est lui qui pelait
et il ne fumait pas il faisait le marché il testait les épices
il fouinait les abats les joues les hampes les tripes
puis plus tard les écailles les arêtes les ventouses
les tentacules de pauvres bêtes cueillies en pleine santé
On avait tout ce qu’il fallait
une terrasse lattée bois imputrescible et délavé
un arrosage automatique et un store pare-soleil
éclaboussé de fiente de ces grands oiseaux blancs
braillards et fiers et malpolis
On avait tout même l’essentiel
une voiture populaire pour visiter autour
les rencards artistiques Avignon Arles Sérignan
et l’ailleurs tout joli devenu ingarable envahi
par les hardes barbares nichant comme les coucous
chez les autres barbares partis nicher ailleurs
S’en foutre car on avait la mer les cabanons les huîtres
et des bonnes pompes de marche et des jambes efficaces
nul besoin d’aller loin le beau est beau partout
mais peu à peu ses pas de géants sont devenus tout nains
notre petit bonheur s’est mis à chialer comme un bébé foutu
et mon homme s’est dissous happé par le suaire rugueux
de la vieille gorgone au visage ravagé
Alors méprisant mon chagrin dévale l’inattendu
le truc désemparant qui me fait désœuvrée
je découvre l’ennui je m’emmerde salement
personne à qui dire des conneries à qui faire des tchin-tchin
et des bisous prudents et des câlins de vieux
On avait tout pour être heureux
et y a plus rien
on croit qu’il n’y a plus rien
mais il reste un trésor
nos vingt années d’amour

texte et image © dominique cozette

Si ce livre pouvait me rapprocher de toi

Dubois, c’est un chef cuisinier qui, avec les mêmes ingrédients, nous mitonne des recettes toujours différentes, toujours succulentes. C’est un être désabusé, toujours, à qui il arrive des drames et des mésaventures. Le père est à la base de cette trame déliquescente, le héros souffre à cause de lui, mais il y a aussi soit une sœur, un frère, ou un jumeau, toujours un chien, une femme qui part et des séjours plus ou moins longs aux Etats-Unis, au Canada et bien sûr à Toulouse ou au pays basque.
Cette fois, dans ce roman au titre un peu cucul (ne vous y fiez pas) Si ce livre pouvait me rapprocher de toi, tout y est pour le malheur du personnage (je dois avouer que ce roman est ancien et que je n’en avais jamais entendu parler donc ma joie intense de le découvrir !) : sa femme l’a quitté, il n’a pas d’enfant puisqu’il se trouve qu’il est stérile, son chien est mort, son père qui vivait souvent au Canada, dans les contrées sauvages, a disparu dans un lac en allant pêcher. Il est écrivain mais ne vend pas beaucoup et trouve que sa vie n’aura servi à rien. Alors Paul Peremülter décide de tout quitter et de partir à l’aventure. Au moins, pourra-t-il peut-être ressentir des choses, se réjouir de certaines situations. Il atterrit aux Etats-Unis et se fait engager pour des petits boulots, chauffeur,  homme de confiance d’un milliardaire, etc… mais vu la vanité de toutes ces maigres occupations, il file au Canada, auprès d’un vieil ami de son père, tellement content de revoir le fiston. Car il a quelque chose de très important à lui révéler.
Pourtant, si ce quelque chose met un peu de baume au cœur de Paul, ça le fait descendre d’un cran dans l’estime que son père aurait pu avoir pour lui. Alors, oui, ce père décevant et déçu, il faut maintenant qu’il l’épate, qu’il lui prouve qu’il n’est pas un sous-homme, qu’il vaut quelque chose. Et alors, il va entreprendre une épreuve terriblement dangereuse, au risque d’y laisser sa peau.
Déjà, l’histoire est intéressante et les personnages que Dubois nous taille dans les troncs des grands arbres de l’automne canadien sont de toute beauté. On les voit, on les entend. Mais surtout, et comme d’habitude si je peux me permettre, c’est cette écriture si riche et si fine, magnifique, qui sait mettre les mots sur non seulement les sentiments mais aussi tout ce qui compose la nature sauvage. On a l’impression que Jim Harrison va jaillir avec son matos de pêche au détour d’un méandre. Quel talent, quel bonheur de s’immerger dedans, de s’y laisser mener par le bout du nez en ne sachant pas du tout ce que la fin nous réserve (je signale que dans un de ses romans, le héros se suicide à la toute fin). On s’attend à tout.

Si ce livre pouvait me rapprocher de toi par Jean-Paul Dubois, 1999, aux éditions Bibliothèque de l’Olivier (c’est comme l’Olivier mais moins cher). 224 pages, 9,90 €.

Texte © dominique cozette

Les Fessebouqueries #666*

Excusez pour le retard mais j’ai attrapé la crève à regarder ce déluge de l’ouverture. Déluge de conneries aussi et de pas mal d’intolérance. Quoi ? Les hommes ne devraient pas porter de robes et de perruques ? Quoi ? Dionysos n’était pas un invité du Christ à la Cène ? Quoi ? Hidalgo n’était pas non plus invitée à présider la cérémonie avec Jupiter ? Quoi ? Les chanteuses/teurs ont fait ça gratis (hé oui)…Quoi ? Y avait Carlos Ghosn dans la malle Vuitton ? Quoi ? Aya Nakamura chante mal et danse mal ? Quoi ? Ils ont osé inviter Hollande ? Les jeux s’ouvrent et les esprits de certains se ferment. On attend toujours notre premier.e ministre car les urnes ont parlé ! On veut des jeux, on les a, et beaucoup veulent aussi du pain ! Ne l’oublions pas ! Tchin tchin dear friends !

  • OV : Je tiens à signaler que je suis profondément choqué que la cérémonie d’ouverture se soit ainsi ouvertement moquée du banquet final du village gaulois d’Astérix. Philippe Katerine était particulièrement peu ressemblant en sanglier.
  • CB : Si tu dis « woke » trois fois devant ton miroir, un Philippe Katerine tout bleu et tout nu apparaît derrière toi pour emmener tes enfants à la mairie et les forcer à changer de sexe.
  • PA : J’ai décidé d’ignorer les cons. Mais maintenant, il faut que je trouve quoi faire avec tout ce temps libre…
  • NA : Le mec nous a vraiment pris pour ses jouets. Jacques a dit va voter au premier tour. Jacques a dit va voter au second tour. Jacques a dit on annule tout. Oh, regardez là-bas le joli pestacle !
  • JF : Pour la cérémonie d’ouverture sur les quais de Seine, 1400 toilettes ont été installées sur les quais hauts pour 215000 spectateurs. Il vaut mieux avoir un laisser-pisser.
  • NP : Passer du Claude François dans une cérémonie où il y a des milliers d’ampoules et de la pluie c’est quand même d’un gout assez douteux.
  • RI : Bon, sur la chaîne marocaine ça fait quinze minutes qu’on voit une photo du Louvre j’en déduis que quelqu’un s’est mis tout nu ?
  • PL : Avec la bande son, les étrangers qui regardent ont une assez bonne idée de ce que ça fait d’être à une soirée avec des Français de plus de 30 ans quand le mec qui gère la musique est complètement torché, mais je ne me plains pas personnellement.
  • CSP : Une petite pensée quand même pour ceux qui ont acheté une place à 2700 euros et qui, depuis les gradins, voient passer des bateaux mouches sur la Seine et regardent les animations à la TV. Sous la pluie.
  • NP : Si Emmanuel Macron ne s’est toujours pas baigné dans la Seine c’est juste parce qu’il n’arrive pas à décider s’il va marcher sur l’eau ou traverser à sec en séparant la Seine en deux façon Moïse.
  • OV : Jo Biden : « J’ai décidé de me retirer de la course à la présidence et de laisser la place à mon colistier Lyndon Johnson. Bon courage à lui pour mener la guerre qui commence au Vietnam ! »
  • MB : Hôteliers parisiens : Ouin, ouin, il y a presque personne dans nos hôtels. On est juste passé de 50 à 800€ la nuit, on ne comprend pas pourquoi les gens ne viennent pas.
  • NMB : Darmanin : Le dispositif de sécurité est assez simple : vous présentez votre QR code, ensuite petite fouille corporelle, relevé d’empreintes, test ADN salivaire et ensuite vous traversez la zone interdite en courant pour échapper aux pitbulls et en évitant les mines anti-personnelles.
  • MBT : Amélie Oudéa-Castéra : « Pendant les jeux olympiques, Paris va devenir un centre pénitentiaire et je demande donc à chaque parisien de rester dans sa cellule domiciliaire. »
  • BR : Je viens de me faire tatouer le plan des catacombes dans le dos pour pouvoir me déplacer dans Paris pendant les JO.
  • MBT : Bernard Arnault : « Les cages pour MES Jeux Olympiques, c’est juste pour que les Parisiens ne se mélangent pas avec mes invités. »’
  • XY : « L’urgence n’est pas à la nomination d’un nouveau Premier Ministre. Nous devons d’abord réussir les Jeux Olympiques. Puis il y aura les Jeux Paralympiques. Et il ne faut pas oublier Miss France ni, très important, le championnat du monde de Curling 2025 à Chamonix… »
  • NMB :  » Je connais les Français et je sais qu’ils ne veulent pas d’une retraite à 60 ans, ni d’un SMIC à 1600€, mais d’une Céline Dion à la cérémonie d’ouverture, c’est ça qu’ils veulent. »
  • GM : « Faire en sorte que les gens puissent bouffer et se loger, ça attendra un peu parce que là, l’urgence c’est de savoir qui lance un javelot le plus loin »
  • NP : Bon écoutez, les Français n’ont absolument pas voté comme je le prévoyais. Mais comme je suis un génie, ce n’est pas moi qui me suis trompé, c’est eux. Donc ce qu’on va faire, c’est qu’on va ignorer le résultat des élections et on va faire comme j’avais prévu au départ. Bisous.
  • NMB : Le patron qui me demande par mail si mes dossiers seront à jour avant les vacances, je lui ai renvoyé le passage vidéo de Macron disant « pas avant la mi-août, sinon on créerait un désordre », allez hop !
  • CEMT : Cyril Hanouna : « Salut mes petites beautés, l’an prochain si TPMP vous manque allez dans les égouts et respirez à fond, ça fera le même effet. »
  • PM : C8 sans créneau, Hanouna en télétravail, il lèchera Bolloré à domicile…
  • LO : Mais je suis perdue, c’était pas Mélenchon qui devait nous pondre un régime autoritaire proche de la dictature ?!
  • PD : Ayant effectué mon grand tour de remise en forme, je peux vous assurer qu’il y a plus de flics et de secouristes dans les rues de Paris que de Parisiens.
  • NP : — Papa ? C’est quoi le mansplaining ? — Alors, c’est facile, c’est quand un homme explique à une femme cinq fois championne d’Europe de judo qu’elle est trop grosse pour être vraiment sportive.
  • EF : 500 invités au Louvre avec pour chef aux cuisines Alain Ducasse. Ne vous inquiétez pas, braves gens, la facture est pour vous .
  • MBC : Bernard Arnault : « J’espère avoir la médaille d’or de l’enrichissement personnel. »
  • NP : À mon avis, les organisateurs doivent commencer à sérieusement regretter d’avoir invité François Hollande à la cérémonie d’ouverture.
  • NP : Toutes mes pensées pour les touristes qui ont subi les Parisiens qui faisaient la gueule parce qu’il pleuvait et qui vont maintenant découvrir les Parisiens qui font la gueule parce qu’il fait chaud.

*666, aïe, c’est le nombre de la bête ! Mais quelle bête ? Va savoir…

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RAPPEL : Je collecte au long de la semaine les posts FB et les twitts d’actu qui m’ont fait rire. Les initiales sont celles des auteurs, ou les premières lettres de leur pseudo. Illustration ou montage d’après photo web © dominique cozette. On peut liker, on peut partager, on peut s’abonner, on peut commenter, on peut faire un tour sur mon site, mon blog, mon Insta. Merci d’avance.

Une autre série d’Aki Shimazaki

Aki Shimazaki est née en 1954 au Japon. En 1981, elle émigre au Canada à Vancouver d’abord puis à partir de 1991 à Montréal. le français est sa langue d’écriture ce qui est extraordinaire quand on pense qu’elle n’a commencé à apprendre le français qu’en 1995.
J’ai déjà parlé d’elle dans ce blog au sujet d’un coffret de cinq petits romans intitulé L’ombre du chardon. Le coffret de cinq autres petits romans que je viens de finir s’intitule Le poids des secrets et le procédé est le même : l’histoire entrecroisée de plusieurs personnes, amis, parents, grands parents, voisins… qui s’éclaircit à mesure que l’on lit les ouvrages offrant chacun un point de vue inconnu des autres protagonistes. Mais ce qui est drôle, si on peut dire, c’est que la source des embrouilles est la même : un enfant illégitime élevé par une mère célibataire trouve une amitié amoureuse auprès d’une autre enfant et tous deux se promettent de vivre ensemble, mariés et heureux, plus tard. Or, ce qu’ils ignorent, c’est qu’ils sont du même père.
Il y a d’autres secrets ici. Avant la naissance de son petit garçon issu de sa relation interdite, Namiko a perdu sa mère et son oncle dans le tremblement de terre de 1923. Elle avait douze ans. Sa mère l’avait confiée à un abbé catholique, un humaniste sauvant des petits orphelins, qui a pris soin d’elle, l’a aimée et l’a bien éduquée. Or Namiko n’est pas une pure Japonaise, elle est originaire de Corée et ce métissage est très méprisé au Japon. C’est l’abbé qui s’arrangera pour gommer cette « tare » qui deviendra encore un lourd secret.
Et il en aura bien d’autres, ainsi que des péripéties époustouflantes qui marqueront tous les personnages dont les auteurs de la destinée semblent s’amuser follement.
Cinq petits livres plaisants à lire, très japonisants, qui nous plongent dans un peu de l’histoire nippone, les bombes atomiques, le mépris de classe, les cachoteries, l’hypocrisie bourgeoise etc. On peut les lire dans n’importe quel ordre, c’est parfait pour se les partager.

Le poids des secrets (2003-2004) par Aki Shimazaki réédité récemment aux éditions Babel Actes Sud. Coffret de cinq petits romans. 500 pages, 35,50 €

Texte © dominique cozette

Les Fessebouqueries #665

Les hommes qui se baladent en robe, forcément, ça leur monte au crâne, ils se disent qu’il leur manque des seins, alors ils vont tripoter ceux des nanas. Comme dit dieu : comme on connaît ses seins, on les honore, en ajoutant : il faut déshabiller l’abbé Pierre pour habiller Popaul. L’abbé sourit, c’est sa jouvence, ces deux petites glandes molles et malléables que le créateur a conçues dans sa grande Clémence (1m84). Dieu a eu moins de nez pour créer la démon-crassie française. Ça patine grave, ça despote à donf, ça va chier des rots de chapons, je vois venir le grand chambardement de la rentrée. Heureusement que, lové dans sa grande Clémence, il a retenu la balle qui allait dégommer Trump, qui du coup va arrêter la guerre d’Ukraine (il n’a pas précisé comment). Sinon vive les J.O et ses myriades de barrières empêchant de circuler dans Paris où coulent la Seine et les petits commerçants privés de cette immense manne touristique. Reste à se consoler avec un petit verre, tchin, dearest friends !

  • OVH : Si l’abbé Pierre se retourne dans sa tombe, il doit se retrouver sur la béquille.
  • DT : Faut-il l’abbé Pierre de tout soupçon ? oui mais il faut d’abord laver Maria !
  • RV : L’abbé avait le feu au culte.
  • OK : L’abbé Pierre ne sera pas premier ministre.
  • NMB : Donc on nous a demandé de voter pour avoir Gabriel Attal Premier Ministre et Yaël Braun-Pivet Présidente de l’Assemblée. On se fout un peu de notre gueule ou c’est moi ?
  • CEMT : La panne informatique géante a eu lieu quand on a demandé à l’IA de Microsoft de résumer la situation politique en France.
  • XY : Sacrée panne informatique en effet, tout est bloqué. Par exemple là, mon PC me dit que Yaël Braun-Pivet est toujours présidente de l’Assemblée Nationale malgré le score de LREM lors des législatives, n’importe quoi…
  • CEMT : « Vous avez vu ? J’ai dissous la dissolution. » (Macron)
  • MBT : Yaël Braun-Pivet : « Je remercie les ministres du gouvernement qui m’ont fait élire à la présidence de l’assemblée nationale alors qu’ils n’avaient pas le droit de voter. »
  • WD : J’me suis déjà fait voler un vélo et un portable, mais jamais une démocratie.
  • MBT : Emmanuel Macron : « Ce qui est bien avec la démocratie, c’est que les gens ont l’impression de choisir leurs dirigeants. »
  • CC : Macron, Attal, Braun-Pivet toujours aux commandes. Au moins vous serez sorti de chez vous trois dimanches, ça change des repas avec la belle-mère. Comme quoi, ça sert à quelque chose de voter.
  • OB : Une pensée pour Amélie Oudéa-Castera qui a tenu plus longtemps dans la Seine qu’au ministère de l’Education nationale.
  • US : CEMT : Donald Trump va bien, il est soigné activement à l’eau de Javel.
  • FT : Le niveau de tir aux USA a beaucoup diminué depuis Kennedy.
  • C’est forcément un coup monté. Qui aurait sérieusement l’idée de viser le cerveau pour tuer Trump ?
  • PAG : Tout le monde ne peut pas être Lee Harvey Oswald. Où sont les balles magiques quand on a besoin d’elles ?
  • ED : Il m’apparaît malheureusement évident que brandir le poing après s’être pris une balle dans l’oreille s’avère plus payant politiquement que de confondre Poutine et Zelensky. Je ne serai pas surpris de voir Jordan Bardella se scarifier avec une agrafeuse en plein meeting en 2027.
  • OK : Joe Biden vient d’apporter tout son soutien à Donald Reagan après cette odieuse tentative d’assassinat.
  • GP : Trump n’a pas gagné. Rappelez vous que Kennedy n’a pas été réélu après l’attentat de Dallas.
  • FL : Quand tu rentres du boulot et que tu réalises qu’une partie de tes impôts est allée payer la chanson et la robe d’Arielle Dombasle pour les JO…
  • SA : Le clip d’Arielle Dombasles, le pire truc que j’aie vu de ma vie. Et je suis médecin légiste.
  • NP : Quelqu’un a pensé à demander à Jean-Jacques Goldman s’il ne voulait pas être premier ministre, juste pour dépanner ? Normalement, c’est la personnalité préférée des Français, ça devrait passer crème.
  • SF : Le nez de Kylian Mbappé, l’oreille de Donald Trump… Moi, je préfèrerais qu’on parle de la bite de Rocco Siffredi.
  • NP : J’ai une blague : C’est Jean-Luc Mélenchon, il fait un compromis. Voilà.
  • DSC : La Seine c’est un peu notre Gange à nous les Parisiens.
  • OM : « c’est fou la vitesse à laquelle le barrage au RN s’est transformé en toboggan pour le RN »
  • PD : Microsoft out of order. Worldwide panic. Sinon Bonjour.
  • JC :  »Cherchez pas, comme pour tout le reste, c’est moi. On mettra ça sur le compte du somnambulisme, ça m’arrive parfois de tripoter maladroitement mon clavier ». (Jean-Luc Mélenchon)
  • PAG : Ces jeux olympiques seront vraiment populaires. Bon, pas pour les Parisiens, pas pour les Français, pas pour les commerçants, pas pour les restaurateurs, pas pour les touristes, pas pour les simples citoyens. Mais pour les sponsors et le CIO, ils seront populaires.
  • MH : Le président américain en retrait momentané à cause du Covid : c’est Trump qui a été touché à l’oreille mais c’est Biden qui doit mettre sa campagne en sourdine.
  • NP : Trump, il va la garder encore longtemps sur l’oreille sa serviette hygiénique ? Parce que je serais très curieux de voir l’étendue de la blessure.

* Crédit image : Polemix.

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RAPPEL : Je collecte au long de la semaine les posts FB et les twitts d’actu qui m’ont fait rire. Les initiales sont celles des auteurs, ou les premières lettres de leur pseudo. Illustration ou montage d’après photo web © dominique cozette. On peut liker, on peut partager, on peut s’abonner, on peut commenter, on peut faire un tour sur mon site, mon blog, mon Insta. Merci d’avance.

Plouf dans la Marne !

Nous c’était dans la Marne, qu’on se baignait quand j’étais petite. Même pas peur. Entre les skiffs des joyeux sportifs des AS avirons de Joinville ou de Nogent, les pédalos sans présidents des guinguettes voisines, et de quelques petits mammifères qui aimaient à se dégraisser la couenne, on se sentait en sécurité. C’était une façon ordinaire et bien sympa de s’immuniser. N’imaginez pas que je suis la superbe plante en maillot à pois (célèbres polkadots d’une chanson à venir), non, elle c’est une fille de Brest, une nana du tonnerre, marraine de ma sister, alias Mado. Feue Mado. Moi, je suis la petite et je n’ai d’ailleurs pas changé : petit ventre, mini-poitrine, cheveux blonds, j’ai juste prix quelques centimètres. Et ne sais toujours pas nager le crawl. Ce n’est pas à mon âge que je vais m’y mettre ! J’ai un peu honte en voyant l’aisance avec laquelle se déplace la Maire de Paris dans la glauquitude de la Scène (Société du Spectacle s’il en est !)

Texte © dominique cozette

Les Fessebouqueries #664

Monsieur le Président, je réponds à votre lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps entre deux voyages dans le confortable vaisseau de luxe que les Français ont payé de leurs poches trouées, du moins ceuss qui paient leurs impôts, mais voyez-vous, je n’ai pas pris le temps de lire la vôtre, même d’un anus distrait, car elle est totalement hors con texte. Votre chère prof ne vous a-t-elle pas dit qu’il ne faut pas parler à tort et à travers, vos chers conseillers ne vous ont-ils pas appris à la fermer lorsque tout a été dit, votre entourage n’a-t-il pas autre chose à faire que de s’occuper de votre affaire de courante advenue lors des résultats de l’examen de con-science par vous infligé, votre foireux concours de çui qui a la plus grosse ? Merci de nous épargner votre paranoïaque hubris (la taille de votre signature en dit long sur votre ego), la fête (la vôtre) est finie, les ballons dégonflés pendouillent comme de vieux testicules informes, ça fait crade, alors permettez-moi d’être irrespectueuse en vous disant : dégage. Oui, ça pique ! Et laissez-nous peinards à votre pot de départ avec mes dear friends… Tchin !

  • OK : Bon allez ! Qu’on le nomme ce putain de premier ministre, et qu’on ne nous casse pas les couilles tout l’été. Bordel de merde de bite au cul de poil de chatte !
  • OV : URGENT : Emmanuel Macron refuse de reconnaître la victoire de l’Espagne et demande à Didier Deschamps de rester à son poste de sélectionneur pour expédier les affaires courantes.
  • PI : Macron c’est le gamin qui propose un foot, puis qui stoppe le match et part avec le seul ballon parce qu’il perd.
  • PA : DEVINETTE : Quelle est la différence entre M’Bappe et un hématome ? Un hématome est un bleu qui marque.
  • GL : La lettre de Macron au pays, c’est aussi élégant que le type qui rompt par SMS.
  • BG : Macron il entre chez toi, fout le bordel dans ta chambre, fout la honte à ses potes, fout le feu à tes livres puis il se casse en vacances aux USA et t’envoie une lettre: « hé les gars, rangez la chambre, c’est un vrai bordel ». Un nuisible.
  • PA : Je viens de boire une orange pressée en terrasse à Paris. Maintenant, je dois décider lequel de mes deux enfants ne fera pas d’études.
  • CD : Soulagement de Bardella : il ne va pas être obligé de travailler. Il va pouvoir tranquillement revenir sur Tik Tok et faire des selfies, ce qui est son maximum de compétence.
  • AK : Bonjour France Inter, maintenant que le vent a tourné, est-ce qu’on peut récupérer des émissions gauchiasses qualitatives, svp ? Merci d’avance.
  • SA : Un réformateur élu président en Iran. Désormais, les femmes auront la liberté de choisir entre un voile noir ou gris foncé.
  • MBT : Cyril Hanouna : « C’est vrai que j’avais dit que je quitterais la France si la gauche arrivait au pouvoir, mais c’est un peu comme toutes les conneries que je raconte chaque jour à la télé. »
  • JD : La macronie qui a gouverné seule sans majorité absolue est en train de nous dire que le Front Populaire ne peut pas gouverner seul sans majorité absolue. Ils osent tout.
  • CEMT : Edouard Philippe : « Oui j’ai dîné avec Marine Le Pen mais j’avais posé la salière entre nous deux pour faire barrage ! »
  • XY : « Oui c’est vrai, nous avons dîné avec les dirigeants du RN et nous avons constaté lors du dîner, qui était très cordial, que nous avions des désaccords très profonds sur de très nombreux sujets comme la crème fraîche dans les pâtes carbonara ou la cuisson du magret de canard ».
  • BHB : J’ai dîné cordialement avec Guy Georges et j’ai pu constater notre désaccord au sujet de sa conception du consentement dans les rapports sexuels.
  • FS : Quand le Titanic coule, tu as la gauche qui se met à écoper puis, voyant que c’est inutile, à descendre les canots de sauvetage. Dès que c’est fait, les macronistes sautent dedans et s’emparent des rames.
  • LA : URGENT: Kylian Mbappé annonce que « personne ne l’a emporté » et donne RDV aux Français en finale de l’Euro.
  • ES : Imaginer une coalition écologique qui irait de LFI à Renaissance, l’appeler la coalition Panot – Solère.
  • MD : On me dit qu’à l’Assemblée un nouveau groupe compte de plus en plus d’adhérents, le PSG (Pour Sa Gueule).
  • CU : Dire qu’on n’en serait pas là si la vie scolaire d’un établissement privé catholique d’Amiens avait fait correctement son travail.
  • LG : Rachida Dati aperçue en train de déverser 50 alligators dans la Seine.
  • PMC : Jacques Chirac 2002 : « Pas d’alliance avec le FN, quel qu’en soit le prix politique ». Édouard Philippe 2024 : « J’ai repris deux fois du poulet ».
  • VO : La gauche, c’est magique. Quand elle perd, elle perd. Quand elle gagne, elle perd.
  • CEMT : Emmanuel Macron : « Qu’est ce que vous croyez ? Le suffrage universel ça marche uniquement quand c’est moi qui gagne ! »
  • LP : Il faut prévenir les athlètes des prochains JO qu’en France tu ne reçois pas systématiquement la médaille d’or lorsque tu termines premier… Ils ont droit de le savoir.
  • LO : « Je vais protéger les Français du vote des Français parce que le vote des Français ne correspond pas au vote des Français que je voulais » (Gabriel Attal).
  • FN : Les boucles d’oreilles quand on est député, il n’y a que moi que ça choque ?
  • CC : Les touristes, ils pensent venir pour voir les JO alors qu’ils auront droit à une reconstitution de la Révolution Française.
  • OK : Un habitant sur 74 est millionnaire à Paris et en Île-de-France. Je fais partie des 73 couillons.

(Image d’après une photo de Bart Hess. Merci IS.)

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