Nanar le tapir : saison 8. Ou 9…

D’après Wiki, le corps du tapir est massif et recouvert d’une peau très épaisse (il est d’ailleurs connu pour son cuir épais). Il a une courte trompe, qui lui sert à humer le sens du vent et à s’y adapter immédiatement. Il  mesure moins de deux mètres pour une circonférence pouvant aller jusqu’à approximativement 1,70 mètre, et une masse allant de 90 à 132 kg. (Photo du tapir en slip kangourou dans son pré carré)
Il possède un odorat excellent et une voix hyper développée. Dans la nature un tapir vit approximativement 85 ans. Dans la prison aussi.
Auparavant herbivore, le tapir est devenu fricophage. Son odorat le porte immédiatement dans les lieux et places où le fric affleure : les affaires, le sport, la presse, les magouilles et … la politique. Ayant réussi un temps à être presque au sommet de la pyramide alimentaire (ministrus mitterrus) puis ayant intégré la réserve modèle du sarkosypus horribilis où il put donner libre cours à son sens de la prédation, il s’est créé un énorme silo de fric donc les historiens se demanderont plus tard : comment fut-ce possible ?
Hélas pour lui, d’autres prédateurs en voulaient à cette réserve. Ils l’ont cerné et sommé de la remettre en circulation. Acculé à la banqueroute — expression qu’on pouvait lire dans nos vieux manuels scolaires en pouffant (acculé !!!) — le tapir va de nouveau retourner sa veste et aller là où le vent le porte, où ça sent le fric : l’éradication du fromage. Ici, on dit le chômage. Il va faire comment ? Tout simplement l’interdire. Le tapir est un gars malin, il sait que les riches ont certes plus de fric que les pauvres mais que les pauvres sont bien plus nombreux et que c’est là qu’il doit foutre son nez fureteur.
Le petit problème : au bout de sa trompe, il y a un truc rouge, tout rond qui lui est poussé, que les tapirologues ont nommé le NDC. Autrement dit : le nez de clown. Et ça, ça ne fait pas très sérieux !

Texte © dominique cozette

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