BEBERT CAMUS. L’ÉTRANGER
Il fait une chaleur étouffante dans ce livre car ça se passe en Algérie et la clim n’existe pas. C’est un bouquin en noir et blanc, y a pas encore la couleur non plus.
Donc le mec, il reçoit un télégramme, c’est l’ancêtre du SMS sauf que ça ne servait que pour les nouvelles importantes et urgentes. On lui annonce la mort de sa mère. Il a très chaud pendant l’enterrement. Il s’en fiche de sa mère et le lendemain, il se fait une nana qui devient sa nana. Puis un jour, avec ses potes sur la plage, il se bat contre des rebeux dont la sœur sort avec un de ses copains. Pour empêcher ce copain de tuer le rebeu, parce que c’est abuser de sortir avec sa sœur, il lui prend son revolver mais sans le vouloir, il tue le rebeu, puis le retue avec trois balles. Il attige, là.
Alors il est arrêté, y a un procès et comme les témoins disent tous du mal de lui, qu’il n’a pas de sentiment, blabla, il est condamné à mort.
En fait il s’en fiche. C’est un mec qui s’en fiche et qui veut qu’on lui foute la paix.Y a pas vraiment de gags dans l’histoire.
Texte et image © dominique cozette
NB : Nabilla est un terme générique pour « icône à faibles connaissances ».